Le Sommeil Physio'Logique en Confiance!
Depuis 2018,
j'ai aidé un peu plus de 400 familles, par le biais de mes ateliers pré-enregistrés ou en direct et mon programme :
Le "Sommeil Physio'Logique en Confiance".
✨ Découvrez ici le descriptif de mon programme "Le Sommeil Physio'Logique en Confiance", pour aider votre enfant, de la naissance à 7 ans, à aimer dormir profondément.
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"Les réflexes de Vigilance dans le sommeil : pourquoi mon bébé, mon enfant, a-t-il peur de s'En-Dormir profondément ?"
Chers parents,
si aujourd'hui vous êtes dans une de ces situations, je peux aider votre petit à retrouver des longs sommeils dans le respect de sa physiologie :
De manière générale, j'aide les familles pour lesquelles même le cododo/cosleeping ne sécurise pas l'enfant.
Votre bébé ou votre enfant a peur de s'endormir (en proximal ou en autonomie) : il résiste par des pleurs dès qu'il entre dans sa chambre ou dans son lit. S'il est plus grand, il négocie par une histoire de plus, un bisou de plus, un câlin de plus... Il vous dit qu'il a peur du "loup", de la "sorcière"... Vous avez une super routine du coucher,mais malgré tout, elle dure de plus en plus longtemps et vous sentez qu'il n'est pas confiant pour se détendre dans son lit, son nid qui est sensé être apaisant, réconfortant.
Vous faites tout pour l'apaiser, le rassurer, pourtant, il est de plus en plus vigilant : vous ne comprenez pas pourquoi votre enfant entre dans le sommeil sur la pointe des pieds, prêt à en ressortir à la moindre sensation de danger ! (Vous vous retournez, vous changez de position car vous avez le bras engourdi, vous faites grincer le plancher en essayant de vous extirper...) Même en cododo, il lance une main, un pied pour savoir si vous êtes bien présent à ses côtés : vous sentez que son sommeil est léger.
Votre enfant est fatigué, voire épuisé, pourtant, il lutte pour éviter de dormir trop profondément : Vous voyez plusieurs signes de fatigue(il bâille, semble grincheux, il est agité, il se décharge régulièrement et vous demande les bras pour se calmer plutôt que d'aller croquer la vie à pleines dents...). Pourtant, il continue de faire de petites siestes. La nuit,il se réveille encore 1, 2, 3 fois... Jusqu'à faire de l'insomnie entre 1h et 4h du matin.
Vous doutez entre le sommeil en autonomie et le sommeil proximal : vous n'arrivez plus à situer la "Bien-Veillance", car même en l'aidant vous sentez qu'il a peur de s'endormir, et vous commencez à perdre patience.
Vous êtes en désaccord dans votre couple. Vous sentez la pression augmenter. Vous n'arrivez plus à démêler ce que vous souhaitez vivre dans votre famille. Dans l'intérêt de votre enfant, vous avez besoin d'une aide extérieure et d'un chemin précis qui respecte le développement et la physiologie de votre petit.
Votre bébé ou votre enfant était autonome dans son sommeil, il avait totalement confiance : mais un stade de développement, une maladie, des vacances... a fait rejaillir des peurs. Au départ, c'était physio'logique d'accompagner cette transition, car vous sentiez une peur réelle et profonde, méconnue jusque-là. Cependant, voilà que cela fait plus d'un mois, 2 mois, 6mois... qu'il a besoin de vous: lors des endormissements qui sont à rallonges, et j'imagine lors des réveils vers 4h/5h/6h du matin (plutôt en fin de nuit). Nous allons ré accompagner votre enfant vers sa confiance en lui-même et en l'univers du sommeil, avec son nouveau stade de maturité et sans tomber dans les pièges qui vous font tourner actuellement en boucle, dans la spirale de la peur et du manque de sommeil.
On vous dit de modifier le rythme de votre enfant, mais vous voyez que ça ne change rien ! Vous lisez sur les réseaux, de ramener l'heure du coucher de 20h à 19h? Chez certaines familles, ce conseil va fonctionner : car leurs enfants ont confiance ! Mais pour d'autres, ce conseil ne servira à rien, car une insécurité s'est installée, plus en profondeur. J'étais en formation dernièrement (sur le développement de l'enfant et ses besoins fondamentaux, en tant qu'animatrice socioculturelle). La formatrice m'a demandé si j'insistais auprès des parents sur le respect des rythmes physiologiques pour leurs enfants? Je lui ai expliqué qu'avec des enfants qui avaient peur du sommeil, ça ne sert à rien de se fixer cet objectif en priorité, pire, ça installe une pression supplémentaire sur les épaules des parents! Ils ne lâchent plus prise, ne sont plus patients, regardent l'heure qui tourne, et l'enfant reçoit cette pression supplémentaire. Dans le monde du sommeil, il faut prendre l'habitude de raisonner à l'envers (c'est le monde de l'envers : jour/nuit)! Ces enfants sont pris par des réflexes, alors la notion de rythme n'existe pas, (ou peu) ! Une fois qu'ils gagnent en sécurité, alors oui, on va les aider à retrouver un rythme qui apaise leur système nerveux !
Qui suis-je pour prétendre accompagner votre famille, vers de longs sommeils?
Je suis formée au développement de l'enfant (DUT Carrières Sociales) et j'accompagne les enfants et adolescents depuis 2009 en tant qu'animatrice socioculturelle.
(Je suis actuellement animatrice à la cantine de mon village : j'adore jouer, faire du sport avec eux, et les voir grandir ! J'aime apporter l'harmonie au sein du groupe, en les amenant à créer des liens empathiques entre eux, basés sur le respect de soi-même, des autres, de l'écoute et de l'entente mutuelle.)
J'ai créé mon accompagnement « Le Sommeil Physio'Logique en Confiance », qui peut être suivi en toute autonomie par les parents ou avec mon aide, car je voyais de plus en plus de familles épuisées, dans l'incompréhension des clés du sommeil, et baissant les bras pour rester enfermées dans une sorte de fatalité. Je lis dans la physiologie, comme vous liriez un livre qui vous passionne : je vois les cernes auprès des enfants que je côtoie, je vois les bouches ouvertes pour respirer, je vois les plagiocéphalies, je vois la peur de lâcher prise pour dormir profondément.
La notion essentielle qui caractérise cette période, est le besoin impérieux des enfants de se sentir complètement en sécurité, en temps d'éveil comme en temps de sommeil. S'il existe « des failles dans le sommeil », nous laissons entrer « le loup » inconsciemment, et il s'installe dans notre bergerie... Nous introduisons alors dans notre famille l'un des plus grands perturbateurs du sommeil de la petite enfance : les réflexes de vigilance qui se répètent inlassablement : la résistance à lâcher prise par les pleurs ou la négociation, les micro-réveils, les réveils nocturnes qui se multiplient...
Mon métier est de vous transmettre mes clés qui ouvrent les portes de l'univers du sommeil de votre bébé, de votre enfant. Des clés qui respectent son être profond, afin que vous puissiez l'accompagner avec une bienveillance totale envers sa personne, sa physiologie, son développement cognitif, vers de longs sommeils régénérants.
Les croyances autour du sommeil...
Hélas, de nos jours, nous entendons régulièrement les affirmations suivantes, ce qui nous incite à rester bloqués dans la spirale infernale de la dette de sommeil:
" Le sommeil viendra lorsque notre enfant sera prêt, en suivant son rythme naturel",
" C'est normal, le sommeil d'un enfant n'est pas calé avant 6 ans",
" Il est petit, son développement cognitif est immature, il est normal qu'il ait besoin d'être accompagné",
" Faites du cododo, c'est LA solution qui règle tous les problèmes de sommeil".
Pourtant, la majorité des parents qui viennent vers moi pratiquent le cododo, ou dorment juste à côté de leur enfant, mais pour eux : ça ne fonctionne pas!
Leur enfant se réveille très régulièrement la nuit. Et ce qui est bien triste, c'est que ce sont majoritairement les mamans qui se retrouvent encore une fois entravées dans leurs besoins de souffler, dans leur besoin de créer.
Elles sont tiraillées entre le souhait d'être bienveillantes et le souhait d'avoir un peu de liberté.
Le soir, elles accompagnent longtemps leur petit ou grand bébé, la nuit, beaucoup continuent de se réveiller pour allaiter,et la journée : elles doivent aller travailler!
Les mamans qui viennent à moi sont épuisées.
Les papas essaient de prendre le relais, mais là aussi, c'est compliqué : dans certaines familles ça n'est pas possible, bébé ne fait que pleurer.
Dans ma pratique, j'ai remarqué que les parents s'attendent à ce que l'amélioration du sommeil vienne du côté des enfants...
Mais c'est rarement le cas! Ils sont pris dans des réflexes archaïques, qu'ils ne peuvent ni contrôler, ni maîtriser: c'est plus fort qu'eux.
Pour se rassurer, nous mettons ces difficultés de sommeil sur le dos des "stades de développement", ou des dents... Mais si elles persistent depuis plus de 3 semaines (après les 4mois d'un bébé), en réalité c'est à nous parents, de les aider à avoir confiance dans l'univers du sommeil.
C'est à nous de les guider vers les profonds sommeils régénérants, ça ne pas pas venir des enfants ! Ils sont "merveilleusement" bloqués dans l'innocence du présent, dans des réflexes qui se répètent inlassablement...
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